En route vers la Sérénité

Peu nombreux pour cette dernière escapade au départ de Roqueredonde. Nous somme allés chercher la fraîcheur des ruisseaux et de la forêt domaniale sur le plateau de l’Escandorgue en cheminant sur le GR éponyme. En bordure de ce plateau, nous avons apprécié des points de vues magnifiques sur la vallée lodévoise avec en point de mire la nappe bleue du lac du Salagou. Traversant les Caussades avec ses rochers sculptés par Dame Nature et représentant ici, la tête d’un chien, là, le profil d’une tête humaine, nous avons atteint les falaises bordant le cirque de Labeil où du haut de ces dernières nous avons découvert un panorama à couper le souffle sur le Cirque ainsi que sur les sommets environnants. Nous arrivons, enfin, au but de notre périple, le temple tibétain, Lerab ling, site extraordinaire construit au fond d’un vallon verdoyant ; nous avons pu pénétrer au cœur de ce magnifique temple où trône une statue de Bouddha de 7m de haut , réplique de celle de Bodhgaya (Inde). Emplis par la sérénité de ce site, nous avons rejoint notre parking pour notre traditionnel pot de l’amitié agrémenté des pâtisseries de Valérie et Véronique. Quelques coups de tonnerre nous poussèrent à clôturer cette journée en se promettant de se retrouver à la prochaine saison pour d’autres avent


En marche pour faire le Cirque

En marche pour faire le Cirque 

Depuis Soubès, nous sommes partis par un sentier en ligne de côte sur les pentes abruptes du Cirque du Bout du Monde, longeant des falaises vertigineuses dans la forêt de pins  qui estompait les ardeurs d’un soleil estival.

Par ce chemin en pente soutenue nous avons traversé moults ruisseaux anormalement à sec, les chaos rocheux présents prouvant que ceux-ci pouvaient être dévastateurs ; nous avons, enfin, atteint la plaine de la Roque où une aire ombragée et ventée a été notre havre de repos pour notre pique-nique bien mérité.

Notre parcours s’est poursuivi sur ce plateau aride et rocailleux, prémice du Causse du larzac, par un chemin en bord de falaise nous offrant des panoramas époustouflants.

Notre descente s’est effectuée par le sentier botanique avec des vues magnifiques sur la vallée de la Lergue avec le ruban sinueux de l’A75.

A notre arrivée, la priorité fut de trouver un coin ombragé, pour profiter des gâteries proposées par nos pâtissières et nous désaltérer du pot de l’amitiè traditionnel tout en devisant sur cette journée sympathique mais caniculaire.

Prochain rendez-vous est pris pour le 11 juin.  


CAUSSE DE MONTCALMES – PONT DU DIABLE dimanche 30 avril 2023

En cette matinée dominicale, nous étions 20 randonneurs plutôt sceptiques quant à la météo, mais nous avons, quand même, rejoint notre point de départ.

En pente douce, à travers la garrigue embaumée par le thym et le romarin, nous avons atteint la Bergerie des Rêves, écogite de groupe, début du sentier du Causse de Montcalmés ; nous avons traversé les ruines de Lavène où des amoureux de vieilles pierres maintiennent un peu de vie sur ce causse, havre de nature que rien ne semble perturber ; trois chevaux paissaient tranquillement et furent tout heureux de profiter de quelques gâteries offertes par le groupe.

Nous sommes arrivés à Montcalmés, hameau abandonné depuis le XIX éme siècle mais de nombreux indices sont là pour témoigner du quotidien des anciens, peuple de bergers, forestiers et cultivateurs.

Notre étape suivante fut le Belvédère du Berger, plateforme panoramique qui domine les gorges de l’Hérault avec vue imprenable sur St Guilhem le désert.

Autant la montée sur le causse fut tranquille, autant la descente vers la vallée fut vertigineuse, nous offrant une vue magnifique sur la vallée de l’Hérault, le Pont du Diable.

Après une pause bien méritée, pour se remettre de ce pas délicat, nous avons rejoint notre point de départ en passant devant l’église St Sylvestre des Brousses.

A notre arrivée, nous n’avons pas déroger à notre traditionnel pot de l’amitié, agrémenté de succulentes pâtisseries.

Nous nous sommes promis de nous retrouver le 28 mai.


Marche nordique

Samedi 1ier avril Premier défi de l'année

Ce samedi 1er avril, un groupe de treize marcheurs nordiques du foyer rural d’Abeilhan avait rendez-vous non loin de Castelnau-De-Guers (34) pour le premier défi de l’année : parcourir, à son rythme, plus de 20 kilomètres. Équipé et motivé, le groupe dynamique est parti tôt sur les chemins du Plateau des Paredaus. Un soleil timide perce la couverture nuageuse, inonde la garrigue de quelques rayons et réchauffe les marcheurs.

Pendant tout le parcours, le groupe reste compact et solidaire. Les discussions vont bon train et les kilomètres passent presque sans effort. Les pistes empierrées alternent avec des petites routes de vigne et des sentiers de terre rouge. Les marcheurs contournent l’Étendoir des Fées puis ils se dirigent sans ralentir vers Saint-Martin-De-La-Garrigue. Le vent se lève doucement et pousse quelques nuages qui assombrissent le ciel et s’égouttent au-dessus des marcheurs. L’averse est de courte durée et n’entrave pas la volonté des marcheurs nordiques.

Une courte pause au douzième kilomètre permet à tous les marcheurs de se reposer et se ravitailler. La fin du parcours se déroule dans la forêt d’Aumes et dans les canyons ocre de la Font-du-Loup. Le groupe reste solidaire jusqu’au bout pour finir ensemble.

Après l’arrivée vient le moment du pique-nique bien mérité. Les marcheurs nordiques d’Abeilhan ont réussi leur défi ! Ils ont marché 21,3 km avec une moyenne de 5,5 km/h pour un dénivelé de plus de 400m.

Bravo aux marcheurs nordiques du Foyer Rural d’Abeilhan !



Autour d'Alignan-du-Vent dimanche 26 mars


Les Crozes- Moulin de Julien dimanche 12 février

Depuis Neffiés, en cette matinée dominicale, avec une météo magnifique mais un peu frisquette, nous sommes partis à la conquête du Col du Terme, en passant par Cante Merle où nous avons pu distinguer, sous le couvert de chênes, les anciens bâtiments en ruine d’installations d’exploitations minières du charbon jouxtant l’impressionnant puits de Combes.

Sur les hauteurs des Louvières, un panorama magnifique se dévoilait à nos yeux, avec le Vissou d’un côté et  la Grande Bleu qu’un voile brumeux masquait un peu.

Par un chemin, embaumé de thym et bordé de chênes verts nous avons atteint Les Crozes, hameau pittoresque, niché au fond d’une combe. Sur la place ombragée, dans cette sensation de calme et de solitude, nous avons découvert l’église romane de  St Martin-des-Crozes. C’est dans cet havre de paix et de solitude que nous avons fait notre pause casse-croûte.

Après avoir visiter cet hameau et découvert le four banal très bien restauré, nos pas nous ont mené au prieuré de Tibéret en passant par Lauriol, lieu-dit où quelques passionnés de vieilles pierres ont restauré quelques habitations.

Le prieuré de Tibéret, endroit bien connu des autochtones, Alexandre nous raconte, qu’enfant, il venait faire ‘Pâquette’ en ces lieux.

Nous voilà repartis, tout en descente, par des chemins bordés de vignes, vers le Moulin de Julien, moulin bladier à eau du XVIIéme abandonné vers 1920, mais dont la pansière a été restaurée afin de préserver le patrimoine de la meunerie.

Nous avons rejoins notre lieu de départ, mais avant de nous séparer, nous n’avons pas failli à notre traditionnel pot de l’amitié.


Port-La-Nouvelle Dimanche 22 janvier 2023

Randonnée à Port-La-Nouvelle

 

Vêtus comme des inuits, c’est à Port-La-Nouvelle que nous avons démarré la première rando de l’année.

Le soleil était au rendez-vous, mais Borée et Eole, de concert, avaient décidé que le froid et la tramontane nous accompagneraient tout au long de notre escapade.

Du haut du Grand Lévat, puech dominant la ville, grâce à la table d’orientation, il était aisé de se repérer dans ce panorama à 360° sur la Grande Bleue, les nombreux étangs et l’île de Ste Lucie, notre prochain objectif.

Le froid et le vent n’ayant pas cédé de terrain, la pause casse-croûte fut de courte durée clôturée par les bugnes de Josy et un café bien chaud de Mary.

Sur l’île, vue magnifique sur les étangs la bordant avec moult flamants rose et aigrettes ainsi que des mouettes figées en vol face à la tramontane qui soufflait en tempête.

Le retour par les anciens marais salants, à l’abri des cannes de provence et arbustes, nous a permis de nous réchauffer un peu afin de pouvoir apprécier, à notre arrivée, le pot de l’amitié traditionnel agrémenté de succulents gâteaux et galettes confectionnés par nos inégalables pâtissières. Rendez-vous prochain est pris pour le 12 février.


Autour de l’Etang de Vendres Dimanche 11 décembre

Autour de l’Etang de Vendres

 

Pour la dernière de l’année et dans les frimas matinaux digne du « Grand Nord », tous bien emmitouflés, nous avons cheminé autour de l’étang de Vendres.

Après notre passage à proximité de la source sulfureuse de Lespignan, et en logeant la rive gauche de l’Aude, nous sommes parvenus à son embouchure où nous avons pu admirer le petit port du Chichoulet, tranquille durant cette période hivernale.

Le soleil ayant chassé les brumes matinales, nous avons profité de la chaleur de ses rayons pour prendre notre casse-croûte avec vue sur le port.

Le retour s’est effectué en bordure d’une immense roselière où d’un observatoire, nous avons surpris quelques canards qui batifolaient et deux hérons qui cherchaient leur pitance ; chemin faisant, nous avons croisé une source qui, d’après des anciens présents sur place, ne se tarit jamais et que les romains avaient domptée et par un aqueduc, dont il reste quelques vestiges, alimentait en eau le village ancien de Vendres.

Nos pas nous ont amenés à Villa Temple de Vénus, vestiges d’un ensemble balnéaire du XVIIème construit sur les ruines d’un temple dédié à Vénus ; c’est l’origine paraît-il du nom du village proche, Vendres.

Notre périple s’est achevé par notre pot de l’amitié où Kheira et Josy nous ont régalé avec de délicieuses pâtisseries.

 

Rendez-vous est donné à l’an prochain pour d’autres aventures


autour de la Bruyère d'Usclas Dimanche 13 novembre

Autour de la Bruyère d’Usclas 

Pour la troisième rando de la saison, nous avons suivi le chemin de St Jacques de Compostelle, au départ d’Usclas du Bosc qui s’élève très rapidement à travers vignes et garrigue.

En s’écartant de ce chemin, nous avons découvert le Dolmen De la Bruyère, vestige funéraire de -800 ans ; en Languedoc, les dolmens ont souvent été appelés « oustal de las fadas ».

Nous avons repris notre chemin pour arriver au Prieuré de Grandmont datant du XII éme siècle avec son parc immense où nous avons pu apercevoir en toute liberté, daim, chèvres.

Soumont étant notre prochaine destination, nous sommes passés au-dessus du site d’escalade créé dans une très ancienne carrière où quelques adeptes s’adonnaient à leurs sports favoris.

A l’entrée du village, une prairie avec son petit lac, aménagée en aire de pique-nique fut notre étape casse-croûte.

Avant de quitter ce magnifique village, nous avons accéder au promontoire du château d’eau où une table d’orientation permettait de nous repérer dans ce magnifique panorama à 360°.

Nous sommes revenus vers notre lieu de départ par une dernière difficulté, la montée de la Coste Soulane afin de fêter l’anniversaire de Christine autour de quelques pâtisseries et en partageant notre pot de l’amitié.

Rendez-vous pris le 11 décembre pour une autre aventure.


Le tour du MOntahut : Dimanche 9 octobre 2022

Le Tour du Montahut,

 

Ce dimanche, journée idéale pour affronter les dénivelés importants de cette randonnée sur le GR7.

Aprés avoir passé le ruisseau du Bardou, Le Sécadou, petit hameau petit hameau de quelques maisons fut notre premier répit dans cette ascension qui nous a amenés à Chavardés, vestige d’une vie aujourd’hui révolue, vivant de la culture des châtaigniers très présents en ce lieu et dont certains spécimens, centenaires nous donne un aperçu de cette époque.

Sur les hauteurs du Montahut, nous avons pris notre pause casse-croûte bien méritée tout en admirant un panorama magnifique sur la vallée du Jaur et ses affluents, ainsi qu’ au loin, nous discernions à peine la côte bleue.

Le plus difficile étant derrière nous, nous avons cheminé sur le GRP Tour de la Montagne du Haut Languedoc dans la forêt domaniale de l’Espinouse en plein reboisement, pour atteindre la chapelle de St Martin du Froid où, malgré un ciel fort nuageux, nous pouvions admirer des cahots rocheux magnifiques.

Par une descente longue et très pentue nous avons atteint le hameau atypique du Bardou où nous avons pu déambuler parmi ses ruelles très étroites, hameau qui revient tout doucement à la vie grâce à un groupe de personnes qui y vivent en permanence.

Comme le disait si bien notre ami Marc, ce fut « l’enfer du Montahut » que Josette, malgré une nuit dansante, a affronté avec détermination, mais comme tous les participants, heureuse qu’elle s’achève enfin.

Notre pot traditionnel de l’amitiés fut rapide, nous languissions, tous, de nous prélasser dans nos canapés.

 

Prochain RDV est pris pour le 13 novembre 


La première : Dimanche 11 septembre 2022

Pour cette première, randonnée de la nouvelle saison et le nombre de participants, 30 au compteur, nous avons débuté par le nouveau GR inauguré par la communauté des communes des Avant-Monts en mai.

Nos pas nous ont amenés à Lenthéric où nous avons découvert les vestiges d’un moulin à eau  du 17ème siècle et d’un moulin à vent de 1781 déjà en ruine en 1825. 

On ne peut qu’admirer l’inventivité de nos anciens qui ont su tirer profit des maigres ressources offertes par la nature.

Laissant derrière nous ce duo rarissime, surtout par la position du moulin à vent, en fond de vallée, nous nous sommes dirigés vers la Légende locale, formation géologique unique au monde, le Trou du Météore, cirque de 250m de diamètre qui a fait couler beaucoup d’encre; les trois hypothèses avancées sont: un antique cône volcanique, une doline ou la foudre céleste d’une météorite . La vérité étant dans le vin, peut-être que les excellents crus du Domaine éponyme vous y aideront.

Après notre pause casse-croûte, nous avons fait l’ascension vers le château médiéval en passant devant le cimetière où repose Michel Polac, information donnée par Didier. Cette montée fut plutôt rude, les rayons du soleil se faisant plus agressifs.

De ce belvédère, un panorama magnifique allant du Mont St Clair au Pyrénées avec vue sur la plaine héraultaise.

Notre périple s’est terminé à La Liquière où nous avons profité de l’ombre de la Cabriothèque pour clôturer cette journée ensoleillée avec le pot de l’amitié accompagné de succulents gâteaux concoctés par nos pâtissières hors pairs.